• C'était hier, dans le sud de SALERNO. J'avais loué une voiture pour me sortir un peu de mon cadre. Jolie voiture : une Smart à 4 portes, intérieur orange et toit vitré. Mais bon, ce n'est pas le sujet !

    Des vagues, y'en avait. Plein. C'est mieux de les voir depuis la terre ferme...

    Des vagues, encore des vagues...

    C'est curieux, mais je ne regarde plus la mer de la même façon qu'avant, lorsqu'elle se met en colère. Maintenant, je la regarde avec une certaine crainte, comme si j'y étais ! Faut dire qu'il ne ferait pas bon d'y être...

    Des vagues, encore des vagues...

    Des vagues, encore des vagues...

    J'ai visité le région comprise entre le golfo di SALERNO et celui di POLICASTRO. Sur le chemin, bien sûr, il y a les ruines de PAESTUM qui reposent dans leur majestueuse solitude depuis plus de 2000 ans.

    Des vagues, encore des vagues...

    SAN MARCO di CASTELLABATE. Encore un port ou, par vents forts, on ne peut ni entrer, ni sortir, la mer brisant sur la jetée ! Il y a du gros ressac.

    Des vagues, encore des vagues...

    Des vagues, encore des vagues...

    MARATEA. On ne le voit pas sur les photos, mais si on arrive à entrer dans le port sans être jeté sur les môles, alors, une fois dedans, on est bien à l'abri ! Mais faut y rentrer !

    Des vagues, encore des vagues...

    Des vagues, encore des vagues...

    La côte, ici, est splendide. Ce sont de hautes falaises qui tombent à pic dans la mer. Malheureusement, 1 jour pour visiter ce coin, c'est trop peu, surtout quand il fait nuit à 17h00. Pour arriver jusqu'à MARATEA, c'est 160 kilomètres depuis SALERNO dont les 120 derniers sont dignes des routes les plus sinueuses de CORSE. 

    Je n'ai pas fait beaucoup plus de photos parce qu'en plus, il pleuvait. Pourtant, avant de louer l'auto, je m'étais assuré d'une météo ensoleillée... Mais bon. La météo n'est pas une science exacte...ou plutôt, c'est exactement le contraire. Comprenne qui peut !

    A bientôt...

     

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