• SYROS AGAIN AGAIN !!!

    SYROS AGAIN AGAIN !!!

    37 miles dans un vent F6 et une grosse houle qui déferle !!!

    Après moultes réflexion, on s'est dit qu'on serait mieux à l'abri à ERMOUPOLIS dans la marina abandonnée de SYROS... 

     

  • A toute berzingue vers SYROS !

    Mon copain le chat.

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Nous sommes toujours à KYTHNOS. On a fait de l'autostop pour les 8 kilomètres entre le port et la Chora...

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Nous nous sommes octroyés un jour de détente avant de devoir reprendre la mer et aller nous planquer à SYROS...

    Parce que oui ! Je me suis dit que si on partait s'abriter à POROS, s'en était fini des CYCLADES... Et j'avais, à cet instant, toujours ce petit espoir que le vent allait se calmer et enfin devenir clément, tel c'qu'on attend de lui, normalement, quand on est en octobre...

    Bon. L'avenir dira que c'était peine perdue ! 

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    En attendant, mon copain le chat, il s'est mis dans la tête de ne pas nous quitter d'une semelle. Il nous suit partout durant notre déambulation dans la Chora...

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Je n'ai pas résisté, tant il est mignon...

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Après les câlins, c'est qu'il ne veut même plus descendre de son piédestal, le bougre !!!

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Bon. Tout a une fin... J'l'aurais bien adopté ce matou !!! 

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Et maintenant ? On a volé un jour entier au kairos pour visiter la Chora de KYTHNOS... La courte fenêtre météo qui nous permet de rejoindre SYROS et de s'y abriter, est en train de se refermer... Va falloir cravacher la bête !

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Du vent ? On en a eu... Et pas qu'un peu !

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    De la houle ? Oui. Beaucoup. Et des grosses vagues aussi. C'est l'une des rares fois, où, avec ce ZEF, second du nom, je suis obligé de barrer en regardant derrière moi ! Surveiller les grosses vagues qui nous arrivent en plein dessus !

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Par deux fois, les vagues étaient si grosses qu'elles ont fait giter le ZEF au point de mettre son liston sous pas moins de 20 centimètres d'eau !!! Et quand on connait le ZEF, avec son franc bord élevé, on s'dit qu'il a fallu qu'il gite sacrément beaucoup pour arriver à cette performance !!!

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    SYROS.

    Cette fois-ci, trouver une place protégée des vents forts à venir, n'a pas été simple...

    D'abord, on s'est mis along side d'un chalutier, une épave, qui mangeait la totalité d'un quai... Et puis, dans la nuit, un Grec est arrivé, se présentant comme le propriétaire de l'épave et nous réclamant un droit d'amarrage de 25 € par jour !!! Non, mas il rêve lui ! Nous demander des sous alors que tout le port est gratuit pour tout le monde !!!

    On s'casse dans la foulée. On ne lui dit même pas merci...

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Franchement, y'a des Grecs qui ne manquent pas de culot !!! Et nous, c'est pas parce qu'on a un air naïf qu'on va dire oui à toutes ces absurdités...

    Le problème, ici, c'est que comme c'est gratuit, y'a des toujours des gusses qui vont vouloir s'approprier un bout des quais... Et c'est ce qui nous a aussi posé problème... Un des quais protégés des vents forts est annoncé comme réservé... Alors quoi. On s'y met au risque de devoir se faire déloger en pleine tempête ? Parce que même si ces pratiques sont illicites, on fait face à des Grecs sans un seul scrupule, et nous, ben on ne maîtrise pas la langue couramment... Bref. On a toutes les chances de perdre devant ces gens-là !

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Après notre position along side du chalutier, j'ai mis le ZEF sur un quai... Oui. Mais au vent ! L'idée m'a séduite jusqu'à la nuit... Et au petit matin...

     

    A toute berzingue vers SYROS !

    Je nous ai enfin trouvé LA place qu'il nous faut ! Sur un bout de quai sous le vent, à l'abri des murs de la station essence abandonnée, et, même si on est dans l'entrée du port, à l'abri (je le sais d'expérience) de la houle.

    Et c'est ici qu'on va passer une dizaine de jours, attendant que le Meltem s'épuise... 10 jours... 

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