• 12- La longue route 3/3

    12- La longue route 3/3

    Le trajet dans sa globalité...

    12- La longue route 3/3 Le passage de l'île MAIRE par le Sud. Quand la mer est calme, on passe facile entre l'île et le cap CROISETTE.

     

     

  • 12- La longue route 3/3

    6H40. 248 miles. Le jour se lève quelque part entre CORSE et CONTINENT. J'ai enfin coupé le moteur qui n'a pas chômé depuis notre départ de SAN STEFANO, il y a 2 jours. On profite des quelques brises de terre pour filer, toutes voiles dehors, à un petit 3,1 nœuds, et toujours en direction de PORT CROS où je prévois de m'arrêter une journée sur une bouée.

     

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    Le point à la main !

     

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    Une mer d'huile !

     

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    Seul... Et j'aime ça !

     

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    Rencontre au large.

     

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    10H00. 258 miles. Comme à l'ILE ROUSSE, après avoir regardé les bulletins de météo et les avis de vent fort sur toute la zone à partir de ce midi, on décide de quitter notre bouée et de repartir immédiatement en direction de l'Ouest !

    A peine un tour dans l'eau pour inspecter les prises d'eau de refroidissement du moteur et, accessoirement, caresser (oui, caresser!!!) l'un des 50 gros poissons qui ont trouvé refuge sous la coque !!! Ils ne sont vraiment pas farouches ! Curieusement, en 1 mois, la coque est déjà sale, incrustée de bestioles au niveau de la ligne de flottaison !

     

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    289 miles. On stoppe enfin dans le port de LA CIOTAT. Une belle et longue trotte depuis la presqu'île d'ARGENTARIO ! Encore 35 miles par F4 de Sud Est pour finir notre boucle à PORT NAPOLÉON. On aura fait 1038 miles ce mois d'août ! Sympa comme virée !

     

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    LA CIOTAT. Enfin, une halte reposante !

     

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    MA CIOTAT !

     

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    Ter !

    12- La longue route 3/3

    « Restez sur vos gardes. Ne vous laissez pas séduire par la chaleur de ses prunelles d'émeraude, la caresse de ses risées, l'attrait de son masque sans rides. Ses colères sont aussi fougueuses qu'imprévisibles ». C'est ce que dit Alain GREE dans son livre « les routes de Méditerranée » qui a longtemps été pour moi comme un livre fait pour rêver ! Et désormais, je suis passé du rêve à la réalité... Et la réalité est encore plus belle !

     

    12- La longue route 3/3

    Et c'est vrai qu'on a eu et qu'on aura encore des gros coups de gueule de la part de cette si belle mer ! Comme ces vents démoniaques qui se lèvent sans crier gare alors que tout allait bien, jusque là, alors qu'on lézardait dans des mouillages forains !!! Mais pour ce voyage dans le golfe de NAPLES, en dehors du fait que le vent s'est toujours évertuer à demeurer invariablement dans notre nez, ce qui n'est pas très pratique pour naviguer à la voile, sauf à rallonger excessivement le chemin en tirant des bords, et que déjà ç’aurait pas été top vu qu'on se devait d'avoir une moyenne de 50 miles par jour, en dehors donc de ce vent de face, il a toujours été praticable ! Et les divinités, quelles qu'elles soient, ont toujours fait en sorte que, si le vent doit se lever, ben nous qu'on reste au port ou qu'on y soit déjà ! Donc merci à elles !

     

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    L'île MAIRE par le Sud.

     

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    Y'a toujours un truc à laver...

     

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    Ou à ranger ! Ou du bricolage ! En fait c'est jamais fini !

     

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