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Lerici et Lavilliers
Je suis rentré au bateau après une belle promenade sur la côte. Ensoleillée, oui, mais fraîche. Très fraîche. Froide même !
J'avais envisagé de quitter ce port dès midi pour gagner VIARREGIO et couper ainsi l'étape sur LIVORNO. Mais la beauté de ce site enchanteur m'a retenu au delà de l'heure à partir de laquelle tu dois payer une seconde nuit !... C'est un mal pour un bien. Demain, je ferais d'une traite la route vers LIVOURNE. Bon. 6 ou 7 heures de mer. Un détail quoi.
Chez un traiteur, je me suis trouvé une salade crevettes et poulpes. Avec un p'tit rosé, c'était vachement bien.
Et pour l'heure, il est pas loin de 20h00, outre de profiter de la connexion internet, avec l'aide d'un petit Ricard et de Bernard Lavilliers, je peins. Attention, je ne fais pas dans l'huile ni dans l'eau (la gouache), pas de toile à spectacle, non, rien que du figuratif, presque du naîf... Et mon support est la grande paroi blanche de ma salle de douche !... J'y ai commencé une fresque, enfin peut être pas une fresque, mais une scène de forêt amazonienne avec des toucans, des perroquets, et beaucoup de verdure. Pour le moment, pas de photo. J'attends que la scène se précise. J'attends d'entendre le cri des bestioles qui vont, demain, hanter ma salle d'eau !
Allez, je vous laisse avec une photo de ce que je vois du bateau.
Et puis, elle m'a souhaité le bonjour pour vous, les terriens !
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Tags : lavilliers, lerici, italie, voyage, croisière
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Avant la liberté, il y eu l'esclavage. Avant l'exultation, il y a eu les gémissements. Avant la tête redressée, il y a eu l'échine courbée.
Homme, savoure pleinement ton bonheur d'affranchi !
C'est ta revanche sur les misères infligées par Louis le Quatorzième.