Il me semble que tes fleurs sont des aloès, on en a par ici !

bisou

Merci pour les doux rayons de soleil qui apportent leurs caresses feutrées et leur toucher soyeux. Avec la grotte du Turc, ils composent un clin d’œil plein d'humour, un sourire de sympathie et de bienveillance. Ce n'est pas en Gaule que l'on trouve en ce moment de telles gentillesses de Dame Nature.

Merci aussi d'avoir montré la carte des prévisions météo. Elle rappelle, à juste titre, que ce voyage est un voyage d'hiver, mûrement pensé et librement décidé, et qu'il se définit donc comme une confrontation avec la réalité des lieux et de la saison, et non comme une construction romantique. Ce voyage est une épreuve. Au sens d'expérience éprouvante, harassante, hautement pénible, comme lorsqu'il faut chercher des ports qui ne soient pas des pièges, lorsqu'il faut s'immobiliser à quai sans savoir quand les éléments voudront bien cesser leur furie, ou lorsqu'il faut endurer en direct les redoutables " vents génois  ". Au sens aussi de mise à l'épreuve, de test et de vérification.  Tester quoi ? Les tripes. Vérifier quoi ? La motivation profonde, le degré d'endurance et de résilience.

Le paradis permanent (c'est-à-dire stable dans le temps) et universel (c'est-à-dire stable dans l'espace) n'est pas encore là, mais des parcelles de paradis t'ont été offertes  çà et là, au fil des jours, depuis que tu t'es lancé de Port Napoléon.

Remercie les divinités pour leurs largesses inouïes ! Elles - les divinités - se souviendront de ta gratitude et t'enverront d'autres conjonctions paradisiaques du temps et de l'espace pour la suite de ton aventure !

• • zéphyros2

    Samedi 30 Janvier 2016 à 17:41

    La peinture de la trirème dans la tempête est superbe. J'veux la même !

La même quoi ? La même tempête ? Tu l'as déjà, avec " les vents génois " ! La même trirème ? Elle est au Pirée, grandeur nature. Il te faut seulement embaucher des rameurs, vaillants et coopératifs, pour défier  Ποσειδῶν – ΠΟΣΕΙΔΩΝ  !