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CORFOU
L'arrivée à CORFOU. 2 gros dauphins n'ont fait que passer sous la coque avant de s'éclipser.
Il y a beaucoup de bateau. Mais vraiment beaucoup ! En longeant les différents mouillages de la côte Est de l'île, je devine des mâts partout. Ici, l'été a commencé.
J'ai d'abord tenté un amarrage le long d'un quai, mais des odeurs d'égouts m'en ont chassé immédiatement. Dans le vieux port, les odeurs sont quasi absentes..., mais le port est saturé. A la grecque, j'ose une mise à couple avec un caïque.
Je verrais le propriétaire en soirée. Pas de problème pour lui, le temps que je veux, sauf si le vent se lève, créant du roulis qui ferait que nos 2 bateaux pourraient s'entrechoquer. Il va sans dire que la nuit ne me coûtera rien ! J'en profite donc, une fois de plus, pour m'offrir la taverna !
La place près du vieux port. J'y découvre dans une échoppe des bières excellentes produites à CORFOU.
Centre ville.
Une alternative, au pied de la citadelle. Mais c'est payant.
Le canal qui isole la citadelle du reste de la cité.
Le même avec vue sur la droite. Donc sur la précédente photo, c'était vue sur la gauche, pour ceux qui suivent !
La citadelle.
Une ruelle toute en couleur. je ne sais pas si c'est la crise qui est passée par là, mais il y a énormément de boutiques qui sont fernées. Peut être parce que c'est dimanche ? je vous dirais ça demain !
La carte du parcours du sud de la botte italienne jusqu'en GRECE.
Pour mémoire, le tracé en rouge est le tracé en cours, celui en bleu est le prévisionnel, les losanges bleu sont mes escales. Le point jaune cerclé de rouge indique où je suis.
Tags : corfou, veux, port, citadelle, bateau, océanis 393
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Ta précédente visite à Κέρκυρα – ΚΕΡΚΥΡΑ était une demande d'asile, pour échapper aux pluies diluviennes qui s'abattaient depuis plusieurs jours consécutifs, même en été, sur le fief d'Ulysse. Ça, c'était pour les conditions du microcosme. Conditions fort désagréables et déprimantes. Par bonheur, elles étaient contrebalancées par une ambiance de fête qui emplissait le macrocosme de tous ceux qui chérissaient Homère. En effet, c'était l'été précédant la célébration du retour des Jeux Olympiques dans la mère-patrie. Il y avait de la joie dans l'air, de la confiance dans les regards, de la fierté dans les paroles, de la générosité dans les spectacles en plein air, de l'hospitalité dans les salutations, les poignées de main et les accolades. La Grèce vivait ses derniers instants de bonheur et d'euphorie avant l'arrivée de la crise.
Triste devenir, présent accablant.
Mais la patrie de Περικλῆς – ΠΕΡΙΚΛΗΣ ne peut sombrer indéfiniment. Elle se relèvera et rappellera au monde qu'elle a été le phare du vrai, du beau et du bon.