• Ben voilà. Je quitte la GRECE avec Minh dans mes bagages ! OTHONOI, dernière île grecque sur mon parcours. Toujours aussi accueillante, calme, sereine, même s'il y a un peu plus de monde que la dernière fois. Arriver en GRECE en passant par OTHONOI est une évidence pour moi. L'île augure d'une grande joie à l'idée de découvrir une GRECE authentique, sauvage, naturelle et préservée. Quitter la GRECE par OTHONOI est aussi une évidence. Cette île, presque un îlot, me rappelle que la GRECE a été, jadis, une terre d'accueil où la bonté était quotidienne, où les visages des gens étaient éclairés par un franc sourire et où les rires des enfants s'entendaient sur chaque place de villages, sur chaque quai de ports.

    Aujourd'hui, la GRECE a changé. Elle est devenue une lointaine province de l'Europe. Un vassal de cette Europe qui, sans le dire, l'anéantie, la suce jusqu'à la moelle. Je me trompe peut être. J'espère me tromper. Mais qu'à fait la troîkaka et europrout pour aider ce pays à surmonter sa crise ? Depuis combien d'années, ces gentils messieurs (qui me semble à moi d'une bêtise inouïe) font durer un plan de sauvetage qui ne permet aux grecs qu'à peine respirer... Et encore, avec un tuba !

    Ce qui est bien avec le tuba, et le masque qui va avec, c'est que tu peux voir le fond sans t'étouffer. Les grecs voient leur fond ! Et moi, j'ai comme l'impression que les grecs ne sont pas près d'avoir pied !!!


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