Bon, le jeu de mot est douteux, si j'ose dire.
Ce matin, à 10h00, j'ai loué une voiture pour faire le tour de l'île. C'est pas mal, sans plus.
J'ai bien aimé le village de SANT'ANGELO et son petit port.
J'aime bien aussi la campagne de l'île. Tropicalisée avec des palmiers, bananiers mais aussi avec des feuillus qui sont restés encore en automne, des vignes encore rougeâtre, les murets moussus,...
Au fond, c'est toujours SANT'ANGELO. Et la photo qui suit aussi.
La montagne d'ISCHIA me rappelle les îles des Canaries. En même temps, elles sont toutes deux d'origine volcanique. Il y a, selon les guides locaux, une jolie balade à faire jusqu'au sommet de l'île..., mais comme j'avais loué une voiture, ce eut été dommage de randonner à pied.
Je vous rajoute cette photo parce que j'aime bien le rouge de la barque :
Après SANT'ANGELO, la route serpente dans la montagne, traverse des villages avec parfois des paysages que j'apprécie.
Et ainsi jusqu'à ISCHIA le port.
Bien sûr, il y a le château sur son roc. Aragonais, il serait le château.
Et juste avant que la nuit ne tombe, le port d'ISCHIA vue d'en haut.
Franchement, y'a pas de quoi casser des briques. Non vraiment. Demain, je vais aller vers PROCIDA. Là, oui, on se régale la vue.
Je termine avec ça (j'ai fait la photo. Je ne vais quand même pas la garder que pour moi, non?)
En conclusion d'ISCHIA, je dirais qu'il y a des trucs bien sur beaucoup de trucs qui le sont moins. C'est comme la tarte au citron. Si elle n'est pas meringuée, il lui manque quelques chose. A ISCHIA, la couche de meringue n'était pas bien épaisse !
Sur ce, à bientôt.
Un fin connaisseur finit toujours par être exigeant. C'est là où intervient la « convenienza » ligure, qui recommande une attitude raisonnable et déconseille un comportement excessif. Pratiquer la « convenienzia », c'est savoir atteindre l'équilibre entre ses besoins et l'offre de la nature.