Quand je suis arrivé dans la baie de KHÄIDHARI, j'ai eu l’extrême surprise et la grande joie d'y découvrir le bateau MAYERO. Comment vous dire...? Le MAYERO, c'est un bateau, un couple, un site internet, que je suis (oui du verbe suivre, pas du verbe être, d'ou le "S" à sui, pour pas confondre avec le "S" de sui qui veut dire être. Suis-je clair ?) régulièrement depuis presque aussi longtemps que le site des TROLLS (que j'adore, mais je l'ai déjà dit dans un autre article, et c'est pas bon de se répéter !). Et là, à portée d'étrave, y'a le MAYERO. Y'a Chantal et Jean Marie qu'on du me prendre pour un taré parce que je leur ai fait un coucou sans m'arrêter avec le ZEF (je leur ai tourné autour comme un chien qui aurait envie de marquer son territoire...) alors qu'ils étaient, eux même sur un corps mort.
Bon. Quand même, j'ai fini par aller leur dire bonjours ! On a parlé. Enfin... Jean Marie a parlé. Chantal écoutait, où faisait semblant, et moi, j'essayais d'en placer une. Ça a été dur ! En fait, j'ai compris le coup. J'attendais que JM prenne sa respiration (comme quand un dauphin vient subrepticement à la surface pour prendre son bol d'air) et hop, j'en profitais pour en placer une !
Bon. Oui. J'exagère. Mais à peine !
On a mangé ensemble dans une taverne typique. Poulet frite pour moi ! C'est typique non ?
J'ai beaucoup aimé les longs silences plein de mot de Chantal..., et le flot ininterrompu de JM... Bon. Je me moque un peu. Faut dire qu'il ne s'est pas gêné pour se moquer un peu de moi !
Ils ont un site internet que j'adore. Du texte, du texte, du texte. Ça vous étonnes ? C'est JM qui écrit. Il écrit comme il parle ! J'aime beaucoup les recettes de cuisine décrites dans le site. A l'image de l'avare (de Molière, pour ceux qui l'ignoreraient), je me régale d'un croûton de pain en lisant les recettes de Jean Marie. La saveur est presque là, mais surtout, c'est beaucoup plus facile à faire !
Merci à vous.
Portez-vous bien...
PS : Y'a même pas une photo d'eux ! Faut'le faire, non?
Le ZEF au mouillage... C'est le bateau le plus au fond. Au moins, je ne gêne personne...
C'est moche hein ? C'est la dernière maison juste avant le barrage sur la lagune. C'est aussi moche que son propriétaire. Un grec. J'ai pas fait attention et je suis rentré sur sa propriété pour gagner la rive d'en face. 2 molosses me sont tombés dessus. Heureusement qu'ils étaient entravés par une chaîne ! Oui, mais le propriétaire des lieux, lui, n'était pas entravé par une chaîne... Et il m'ait tombé dessus, m'a insulté, a hurlé en italien (j'ai une tête d'Italien moi ?) que je n'avais rien à faire ni ici, ni en Grèce, que je pouvais aller me faire enc...ler, etc...etc... Pour la propreté de mon blog, j'ai remplacé le "U" du mot par des points de suspension ...
Cette épisode si beau, m'a laissé, euh, comment dirais-je, heu, m'a laissé, euh, m'a abasourdi !
J'ai préféré immédiatement quitté les lieux. Alors, j'ai relevé l'ancre et je suis (du verbe être cette fois) parti !
De KHÄIDHIRI, je ne retiendrais que le bel épisode du MAYERO. Trop court à mon gout.
Des pontons de bric et de broc !
La carte du parcours
