• Une terre de contraste

    Une semaine en avril pour laver le pont, fabriquer 2 petits meubles de rangement, un pour les manivelles de winch et l'autre pour des ustensiles de cuisine (Oui, j'ai qu'ça à faire !), ranger le bordel et ranger, trier, indexer, répertorier, organiser les modes d'emplois ! Mais aussi alléger le bateau de toutes ces choses inutiles...

     

    Beaucoup de choses à faire, tellement simple et rapide à écrire, tellement long et fastidieux à réaliser, et la liste des trucs encore en attente est toujours aussi fournie !

     

    J'ai quand même pris le temps de tirer un câble électrique depuis le poste avant jusqu'au poste de barre pour la télécommande du guindeau. Se contorsionner pour faire passer le câble derrière les vaigrages, les planchers, les cloisons...

     

    - Et ça l'a usé le petit ?

    - Ben euh, quand même, 4 heures à 4 pattes ! Ça compte ?

    - 4 heures en 13 mois !!!... Va bosser ! Feignasse !

     

    Une terre de contraste.

    Forcément, ça génère un peu de bazar dans le bateau.

    Une terre de contraste.

    Juste un peu... Mais après, tout reprend sa place, comme avant !

     

    Le préambule à cette petite croisière, normalement en juillet / août (oui, je sais, c'est pas long, mais c'est un début avant un retour en GRÈCE plus ou moins programmé d'ici à 2 ans, et... Oui, je sais, on peut pas parler, à proprement parler, d'une programmation si, dès lors que le délai oscille entre rien et 2 ans [où plus] ça veut dire qu'il n'y a rien de très précis et donc rien de très vraiment programmé, ni programmable ?... Mais que, moi, quand même, je sais que c'est programmé dans un coin du fond de ma tête !), ça a été quelques séjours emplis de contraste...

     

     

     

    Une terre de contraste.

    Ainsi, cette vue presque lugubre du golfe de FOS...

     

     

    Une terre de contraste.

    Et ces champs de colza sur la route d'ALBI.

    Une terre de contraste.

    Une terre de contraste.

     

     

     

    Une terre de contraste.

    Ainsi cette forêt quimpéroise, une forêt d'hiver belle et sauvage, mystérieuse et étrange...

    Une terre de contraste.

     

     

    Une terre de contraste.

    Et ces champs de vignes naissantes, dans les contreforts des Pyrénées Orientales

    Une terre de contraste.

    Une terre de contraste.

     

     

     

    Une terre de contraste.

    Ainsi encore ce pâle lever de soleil sur une mer en demi-teinte avec, en toile de fond, la montagne Sainte- Victoire...

     

     

    Une terre de contraste.

    Et ce potager tout de vert tendre vêtu sur le chemin du château de TERMES, en pays Cathare.

    Une terre de contraste.

     

     

     

    Ah oui ! Le pays Cathare. Ça aussi, ça a été un préambule. Un préambule au préambule.

     

    - Il va nous la faire combien de fois celle-là ? Le préambule du préambule du préambule ! Hein ? Tu vas nous la faire combien de fois c'te farce-là ?

    - ...

    - Avec ces conneries, y s'rait capable de faire tout 2018 et 2019 sur le même ton ! Pffff ! Tu t'f oules pas, toi, hein ?

    - Euh... Mais c'est seulement une aut'histoire ! Donc, euh... Pas la peine de s’inquiéter !

     

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